• Suite et fin sur le Mariage

    LES PRE-FIANCAILLES ETANT DONC UNE PERIODE DE PRIERES ET D’ETUDES, D’OBSERVATION… ET … VOUS NE POUVEZ PAS EPOUSER QUELQU’UN QUE VOUS NE CONNAISSEZ PAS ET EN QUI VOUS N’AVEZ PAS CONFIANCE.

     

    - QUESTIONS ET REPONSES SUR LE SAINT-ESPRIT, 19/12/1959, § 36

    Pourquoi avez-vous épousé votre femme ? Vous avez foi en elle. Vous l’avez mise à l’épreuve, vous l’avez observé, vous saviez d’où elle venait, qui elle était. C’était ainsi avec l’Ecriture de Dieu.

     

    - DIEU POURVOYANT LE LIEU D’ADORATION , 25/04/1965, § 201

    … Un homme doit avoir confiance en la femme qu’il veut épouser, car, certainement, il n’aura pas mal de difficultés. Vous devez avoir la foi en cela.

     

    VOUS NE POUVEZ AIMER QUELQUE CHOSE QUI NE SOIT PAS DE VOTRE NATURE ET QUI SOIT REELLEMENT UN COPAIN OU UNE COPINE , EN EFFET UNE PARTIE DE VOUS-MEME.

     

    - L’AGNEAU ET LA COLOMBE, 5/08/1965, § 64-65, Trad. La Voix de Dieu

    Alors Dieu, Qui désirait dut créer quelque chose d’aimable. Il dut créer quelque chose de gentil comme Lui-même. Il dut créer quelque chose qui soit selon Sa propre nature. Vous ne pourriez pas aimer quelque chose qui ne soit pas de votre nature. L’Amour doit s’unir à l’amour.

    … Vous cherchez partout, essayant de trouver une fille que vous puissez aimer et qui deviendra votre femme ; elle cherche partout, essayant de trouver un mari qui puisse l’aimer.

    - L’INVASION DES Etats-Unis, 9/05/1954, § 46b

    Et lorsqu’un homme désire se marier, le genre de fille ou de femme… c’est plus que de ne regarder qu’à la beauté. VOUS DEVRIEZ TROUVER QUELQU’UN AVEC QUI VOUS UNIR, ET L’AME ET LE CORPS ; QUELQU’UN QUI SERA VRAIMENT VOTRE AMIE ET VOTRE COPINE, QUI S’UNIRA ENTIEREMENT ET INTIMEMENT AVEC VOUS.

     

    - LA SEMENCE DU SERPENT, 28/09/1958, P. 17, § 113- 116a, Trad. La Voix de Dieu

    Et la femme est simplement une partie de l’homme, un produit dérivé. La femme n’était pas dans la création originale. Ça faisait déjà des années et des années que Dieu avait arrêté de créer, quand IL a formé la femme à partir d’une côte prise de son côté. Adam avait déjà donné des noms à toute la création, à tout le reste, mais pour lui-même il n’y avait rien. Alors, IL lui fait une aide. Il a pris une côte de son côté et a refermé la blessure et IL lui a fait une aide. Et l’homme dans son esprit, il était à la fois homme et femme.

     

    ET LA FEMME EST SIMPLEMENT UNE PARTIE DE L’HOMME. ET QUAND UN HOMME PREND UNE EPOUSE, ET SI VRAIMENT ELLE EST SON EPOUSE, UNE EPOUSE DONNEE PAR DIEU, ALORS ELLE SERA POUR LUI TOUT COMME UNE PARTIE DE LUI.

     

    Voilà la raison pour laquelle il y a tant de problèmes dans les mariages.

    Vous devriez d’abord prier parce que la femme fait une partie de vous.

     

    - LE PARENT REDEMPTEUR, 20/10/1960, § 47, Fascicule Rhigini/RDC

    Et lorsqu’un homme aime une femme parce qu’elle est juste (seulement – NDE) jolie, il y aura une fin à cela. Mais lorsqu’un homme trouve une femme qu’il aime, il ne sait pas pourquoi, et il l’aime. Et elle trouve l’homme qu’elle aime, peu importe à quoi il ressemble, il l’aime, elle l’aime. C’est un Couple dans la gloire. Ce… ni rien d’autre ne peut les séparer. Parce qu’ils viennent de l’Eternité, et ils ont marché dans l’espace des temps et ils retourneront dans l’Eternité. L’Eternité est entrée dans un corps appelé « Temps ». Ensuite, Elle rentre juste dans l’Eternité à nouveau. Elle ne peut périr.

    Une femme qui est belle, cette beauté disparaîtra aussi sûrement… donne-lui quelques-années…

     

    - JEHOVAH JIREH #I, 2/04/1964, § 113, Trad. Shekinah/RDC

    Et quand Adam et Eve, au départ tout était en Adam. Dieu prit une côte de son côté et forma une femme, et IL retira l’esprit féminin d’Adam et le mit dans la femme.

     

    - JEHOVAH JIREH #III, 4/04/1964, § 162, Trad. Shekinah/RDC

    C’est comme au commencement, en Eden, où « Adam ». Voyez-vous ? Et lorsqu’ils furent séparés pour être éprouvés, qu’arriva-t-il ? Eve fut déchue de la Parole ; c’était la Parole. Adam la suivit pour la racheter, mais il ne pouvait pas. Il n’était pas digne de la racheter. (Cf. aussi Corinthiens, Livre de corrections)

     

    PENDANT LA PERIODE DES PRE-FIANCAILLES (Fréquentations ou Amitié), LE JEUNE HOMME OU LA JEUNE FILLE DOIT VEILLER A TOUT CE QUI EST DIT PRECEDEMMENT. ET C’EST BIEN APRES QUE VIENNENT LES FIANCAILLES. MAIS AVANT D’ENTRER DANS LES FIANCAILLES, L’ON A EN PREMIER LIEU, LES PROMESSES (Les Vœux) ; OR, AVANT D’ARRIVER A CETTE ETAPE, LE JEUNE HOMME OU LA JEUNE FILLE DOIT ÊTRE SUR (E) DE CE QU’IL (ELLE) ENTREPREND.

    LE PROPHETE W.M. BRANHAM DECLARE CECI DANS LE MESSAGE INTITULE :

     

    - LA FOI PARFAITE, 25/08/1965, § 127-128, Trad. La Voix de Dieu

    Tenez , c’est comme pour un jeune couple. Vous prenez un jeune homme et une jeune fille qui tombe amoureux l’un pour l’autre. Alors qu’ils vont de l’avant et commencent à mieux se connaître, leur cœur commence à battre à l’unisson. Voyez-vous ? Pourtant, ils ne sont pas encore mari et femme. Leur amour les lie et ils ont confiance l’un à l’autre. Maintenant, ils s’aiment vraiment, s’ils s’aimaient vraiment…. Et si vous savez que cette fille vous aime et si elle sait que vous l’aimez, vous avez confiance, vous avez foi l’un en l’autre. Si vous ne l’avez pas, vous feriez mieux de ne pas vous marier.

     

    Vous devez donc avoir foi, et si vous les séparez, et que vous en mettiez l’un à l’extrême sud et l’autre à l’extrême nord, ils auraient cet amour l’un pour l’autre. Ils sont aussi fidèles l’un à l’autre que possible parce qu’ils s’aimaient…

     

    EN VOICI UN EXEMPLE :

     

    - LES NOCES (LE MARIAGE) DE L’AGNEAU, 21/01/1962, § 93-96, Trad. Shekinah

    Et il y avait une certaine école ; et c’est cette école que ce… ce groupe de jeunes américains fréquentait. Et presque tous agissaient de la même façon, sauf une certaine petite fille qui ne tolérait pas du tout cela. Elle ne sortait pas. La nuit, quant tout le monde sortait pour boire, elle lisait. Un jour, elle travaillait sérieusement. Eh bien, elle était la risée de toute l’école. Elle regardait comme une dame, elle se comportait comme une dame. Bien qu’il y ait eu là de jeunes garçons romains et d’autres qui essayaient de la convaincre de sortir, elle refusait. Non, monsieur. Elle restait accrochée fermement à ses leçons, apprenant à dessiner et à peindre. Elle s’en tenait à cela.

     

    Finalement, un vieux concierge de la place, qui ne cessait de l’observer, a remarqué qu’elle était très différente, bien qu’il fut un catholique romain, il ne cessait de l’observer, comment elle se comportait. Un soir, la jeune fille était dans le parc où se trouvait l’atelier, ou plutôt à l’endroit où se trouvait l’école. Elle était sortie du campus, et elle gravit la colline et se dirigeait vers son sommet, et le soleil se couchait. Et elle se tenait là avec son visage joli et propre, et ses cheveux qui lui descendaient sur le dos, elle regardait de l’autre côté, vers le soleil couchant.

     

    Le vieux concierge était en train de ratisser là-bas dans la cour et ne cessait d’observer la fille. Pendant qu’il ratissait, quelque chose ne cessait de lui dire d’aller lui parler. Il déposa son râteau et, ayant enlevé son chapeau à larges bords, il se dirigea là où se trouvait la jeune fille ; et il s’éclaircit la voix. Elle se retourna. Il dit : « excusez-moi, mademoiselle. »

    Elle dit : « Oui, Monsieur, je vous en prie ? »

    Et il remarqua qu’elle pleurait. Ce soir-là tous les autres étaient sortis pour une grande fête. Il dit : « Mademoiselle, j’espère que vous n’allez pas me prêter de mauvaises intentions, parce que je vais vous parler. » Il dit : « Maintenant, ça fait presque deux ans depuis que vous êtes ici. Et j’ai remarqué que le groupe avec lequel vous êtes venu sort tout le temps pour aller aux fêtes, et ils reviennent à n’importe quelle heure de la nuit, ivres, et à moitié nus, et tout. Mais j’ai remarqué que vous ne prenez pas part à ces fêtes.

    Et il dit : « Je – je remarque, sans doute, que vous êtes toujours en train de regarder au-delà de la mer. Le soir, vous montez ici, et vous vous tenez debout ici chaque soir, et vous regardez le soleil se couchant. » Et il dit : « A quoi cela est-il dû ? » Il dit : « Je suis un vieil homme. Et je – je suis curieux de savoir ce qui vous différencie des autres. »

    Elle dit : « Oui, monsieur. Elle dit : « Monsieur, je regarde en direction de notre pays, quand le soleil se couche. » Elle dit : « De l’autre côté, là au-delà de ce soleil, se trouve un pays. » Elle dit : « Dans ce pays-là, il y a un certain Etat. Et dans cet Etat, il y a une certaine ville. Et dans cette ville, il y a une certaine maison. Et dans cette maison là, il y a un certain garçon. » Et elle dit : « Il est aussi artiste. Quand je suis partie de là pour venir ici, je lui ai promis mon amour. Nous nous sommes fiancés. » Et elle dit : « Qu’importe ce que font les autres, cela ne me dit rien. » Elle dit : « J’ai promis de rester fidèle et juste. » Et elle dit : « Je désire ardemment voir ce jour où je me sentirai sur les ailes de ce grand avion-là qui m’amènera de l’autre côté de la mer et me déposera à l’aéroport, où il m’attendra. Il est en train de construire une maison, et nous vivrons ensemble là, dans ce pays-là. » Et elle dit : « C’est la raison pour laquelle je me comporte de la sorte. Je suis fidèle à la promesse que je lui ai faite. » Et elle dit : « Je reçois de ses nouvelles de temps en temps et je lui écris. » Et elle dit : « Dans notre correspondance, nous gardons nos Vœux, en attendant le jour où nous nous rencontrerons. » (…)

     

    N.B. : Bien que dans cet exemple, les deux avaient déjà conclu les vœux, mais nous voulons seulement faire remarquer l’amour qui liait les deux.

     

    AINSI , SI LES DEUX PARTIES EN ARRIVAIENT A CE NIVEAU, ELLES POURRAIENT ALORS SCELLER LEURS FIANCIAILLES, SINON, ROMPRE LEURS AMITIES (FREQUENTATIONS).

     

    LE COMPORTEMENT A AFFICHER PENDANT

    LA PERIODE DE PRE-FIANCAILLES

     

    - QUESTIONS ET REPONSES n° III, 30/08/1964 (matin), § 304-305, Trad. Lepicard

    Avez-vous trouvé cela, Frère Neville ? De quoi s’agit-il ? Je ferais mieux de m’en aller maintenant, parce que cela fait trop tard, voyez-vous ? 7, 9 … Voyons un peu. « Mais s’ils manquent de continence, qu’ils se marient, car il vaut mieux  se marier que de brûler. »

    Très bien, cela est pour une vie de souillure, lorsqu’un homme ou un garçon ou une fille ou quelqu’un d’autre, sortent ensemble et qu’ils savent qu’ils devraient se marier, qu’ils aillent de l’avant et qu’ils se marient. Je pense que vous – vous comprendrez ce que je vais dire. N’est-ce pas ? Voyez-vous ? Ne continuez pas à vivre une vie impure, à ce moment-là, car ce n’est pas juste. Voyez-vous. C’est votre sœur dans un sens, si vous êtes un chrétien.

    Maintenant, si c’est le monde, ils s’entredévorent. Mais cette jeune fille avec laquelle vous sortez, c’est votre sœur aussi. Ce sera la mère de vos enfants qui viendront. Ne vivez pas une espèce de vie impure, montrez-lui que vous êtes un gentleman chrétien. Vivez comme un gentleman chrétien doit le faire. Voyez-vous ? Et traitez-la comme votre sœur. Et lorsque vous serez marié, traitez-la toujours de cette façon-là.

     

    DIEU POURVOYANT LE LIEU D’ADORATION OU LA PLACE POURVUE PAR DIEU POUR L’ADORATION, 25/04/1965, § 201

    « Ne saviez-vous pas qu’un homme qui embrasse une femme est moralement obligé de la marier ? Potentiellement, c’est un acte sexuel. Certainement que cela l’est. Oui, monsieur. Qu’est-ce ? Ce sont les glandes mâles qui sont dans les lèvres de l’homme et les glandes femelles. Quand les glandes mâles et femelles se rencontrent, c’est sexuel.

     

    - LA SEMENCE DU SERPENT , 28/09/1958, § 116b, Trad. La Voix de Dieu

    « …Et si vous avez serré une femme contre votre poitrine et que vous l’avez prise pour épouse, et que vous… Elle laisse une empreinte sur vous. Nous allons le dire comme cela afin que vous compreniez. Et toute autre femme contre cette poitrine, ne s’ajustera pas à cette empreinte. Et Dieu vous en tiendra pour responsable. Alors, souvenez-vous en.

     

    FRERE BRANHAM DIT QUE LA JEUNE FILLE NE PEUT JAMAIS LAISSER LE JEUNE GARCON LA TOUCHER OU L’EMBRASSER JUSQU'A CE QUE LE VOILE RECOUVRANT SON VISAGE SOIT LEVE. OR, NOUS SAVONS QUE CE VOILE N’EST LEVE QU’AU JOUR DE LA CEREMONIE DU MARIAGE.

     

    - L’ORIGINAL, 14/06/196 4, P. 9, § 50b, Trad. Barilier

    “Comprenez-vous? Lorsque les glandes mâles et femelles se rencontrent, peu importe à quel endroit, vous avez commis un adultère en puissance. Vous ne devriez jamais laisser un garçon vous embrasser jusqu’à ce que le voile recouvrant votre visage soit levé et vous soyez sa femme. Ne faites pas cela ! C’est commettre un adultère. C’est mélanger les glandes mâles et femelles. »

     

    ET NOUS SAVONS QUE CE SONT LES VŒUX QUI VOUS FONT ENTRER DANS LES FIANCAILLES. MAIS, AVANT DE FORMULER CES VŒUX, FRERE BRANHAM DECLARE DANS LE MESSAGE :

     

    - L’UNION INVISIBLE…, 25/11/1965, § 67b, Trad. Lepicard

    ... Si jamais elle fait quelque chose de faux, elle doit le confesser à son mari avant qu’il la prenne et rétablir la chose... Si elle ne le fait pas, et qu’elle vive avec son mari pendant dix ans et qu’elle le confesse alors, il a le droit de la répudier et de se marier avec une autre femme.

    C’est l’Ecriture. La fornication est une vie impure.

     

    NOUS VOYONS ICI QUE FRERE BRANHAM VIENT TOUT DE SUITE NOUS PARLER DE LA CONFESSION DE LA FEMME AVANT SON MARIAGE. LAISSONS-LUI MAINTENANT LE TEMPS DE NOUS EXPLIQUER LES VERTUS DONT EST DOTEE LA FEMME ET QU’ELLE NE DOIT PAS SOUILLER ; SINON, ELLE EST OBLIGEE DE LE CONFESSER A SON FUTUR EPOUX AVANT QU’IL NE LA PRENNE.

     

    - L’UNION INVISIBLE…, 25/11/1965, § 61-62, 67, 69 et 75

    Une femme est dotée de certaines qualités qu’elle ne doit pas déshonorer. Une femme en reçoit la garde. Il n’y a pas de créature sur la terre comme la femme. Il n’y a pas de chienne, pas de femelle, d’aucune espèce, ayant reçu un caractère comme la femme. La femme ne se trouvait même pas au commencement de la création, parce que Dieu savait qu’elle chuterait. Toutes les autres femelles ne pouvaient pas commettre adultère. Elle est la seule à pouvoir commettre adultère. Si elle avait été faite comme l’original, cela serait venu à l’encontre de la Grande Sagesse de Dieu. Vous voyez, elle fut faite le sous-produit d’un homme ; mais parce qu’elle fut jetée de ce côté, elle a aussi reçu de Dieu une tâche sacrée en vue de la Rédemption, elle a reçu des qualités qu’elle ne doit pas déshonorer. Si elle les souille, elle est déshonorée pour le reste de sa vie. Peu importe qu’elle soit pardonnée. Elle ne peut pas être justifiée.

    Je reviendrai là-dessus dans un moment. Je prendrai un passage de l’Ecriture qui traite de cela dans quelques minutes. Elle peut être pardonnée de sa souillure, mais elle ne peut pas être justifiée dans cette vie, cela la suit toujours… Maintenant, remarquez, elle a reçu ceci. Elle peut être pardonnée mais pas justifiée.

    Son corps lui est donné en Dépôt Sacré. Aucune chienne, aucune femelle d’oiseau, aucun autre animal, aucune autre créature n’est ainsi ; non. Elle est la seule. Par cela, elle est … La raison pour laquelle ceci est si sacré, c’est qu’elle doit amener la vie sur la terre. Son corps est un réceptacle de vie. Ainsi, c’est la raison pour laquelle elle reçoit ce Dépôt Sacré.

     

    -          Ainsi, elle a… d’abord, je vais citer Trois Choses dont elle ne doit pas s’éloigner…

    -          Remarquez : elle détient un Dépôt Sacré des Vertus qui lui a été donné, qui lui a été confié par le Seigneur ; Dieu lui a fait don de cette Vertu…

    -          « Remarquez : ce qui lui a été confié : la Vertu Sacrée (Virginité), la Féminité sacrée, puis la Maternité sacrée, tout cela lui a été donné pour honorer son mari… »

    N.B. : NOUS COMPRENONS ET VOYONS ICI LE PROPHETE NOUS PARLER DE TROIS (3) VERTUS QUE POSSEDE LA FEMME ET QU’ELLE NE DOIT PAS SOUILLER ; SI ELLE LES SOUILLAIT, ELLE SERAIT OBLIGE DE CONFESSER A SON MARI AVANT QU’IL LA PRENNE ; NE LE FAISANT PAS, CETTE FEMME N’EST PAS EN ORDRE ENVERS SON MARI ET ENVERS DIEU ; ET ALORS, ELLE VIT DANS LA FORNICATION. PEU IMPORTE LE NOMBRE D’ENFANTS ET D’ANNEES QU’ILS AIENT VECU ; CELA N’EST PAS UN MARIAGE, A CAUSE DU FAUX VŒU. L’HOMME PEUT LA REPUDIER ET SE MARIER A UNE AUTRE FEMME. LE PROPHETE DIT : TOUT LE TEMPS, L’HOMME EST SEDUIT PARCE QUE LA FEMME A FAIT UN FAUX VŒU.

     

    « Si la femme n’est pas liée à l’homme dans la sincérité, alors ce n’est pas son mari. C’est juste un homme avec qui elle fait un vœu pour vivre avec, et elle a fait un faux vœu. Elle a promis formellement de l’aimer, et elle a dit qu’elle l’aimait ; et elle ne l’a pas fait. Tout le temps l’homme est séduit. Mais il y a une chose qui est certaine, mes amis, nous n’allons pas séduire Christ. IL connaît les Siens. »

     

    Cfr. MARIAGE DE L’AGNEAU, 2101/1962, § 62, Trad. Righini/Kin.

    MAINTENANT, PARLONS EN DETAILS DE CES TROIS VERTUS DONT LA FEMME EST DOTEE ET QU’ELLE NE DOIT JAMAIS DESHONORER :

     

    A)    LA FEMINITE SACREE.

     

    Qu’est-ce que la feminite ?

     

    -          L’UNION INVISIBLE…, 25/11/1965, § 69, 74, 80 et 81, Trad. Lepicard.

    … Elle s’est vue confier un Dépôt Sacré de féminité, qu’elle ne doit pas briser. La Féminité dont je parle ici, c’est sa Conduite, son Comportement vis-à-vis des hommes. Ne pas permettre à chaque homme… Regardez ces écrans et voyez comment ces acteurs de cinéma embrassent, étreignent, et se vautrent avec ces femmes. Une femme qui fait cela a un mauvais comportement. Elle peut bien être vertueuse, autrement, mais voyez-vous, dans son cœur… Lorsque ses glandes… Les glandes sexuelles sont dans les lèvres… et lorsqu’un homme baise une femme, il commet en fait, potentiellement adultère avec elle.

    Elle a une Féminité Sacrée. Ce n’est pas étonnant que les hommes agissent de cette façon avec les femmes, c’est parce que les femmes se comportent de cette manière avec les hommes…

    Donc, nous voyons qu’elle a reçu ce Dépôt Sacré de Féminité qu’elle ne doit pas briser, avoir un bon comportement, …

    Quel Dépôt Sacré ! Quelle responsabilité pour une femme ! Maintenant, voyez pourquoi elle est un Type de l’Eglise. Celle-ci a la même responsabilité que la femme à l’égard de sa Maternité, de sa Vertu (Virginité), de Son Mari.

     

    -          LE MONDE S’EFFRONDRE A NOUVEAU, 27/11/1963, § 123, Trad. Shreveport, La.

    La féminité est l’une des choses qui tiennent notre nation ensemble. C’est la colonne vertébrale. Et la féminité, cette bonne vertu que Dieu a donnée à la femme d’être mère, comme quoi, elle est finie. Depuis longtemps, la vertu des femmes de ce monde s’est inclinée devant une déesse de la mode de Hollywood ; s’identifiant, et s’habillant, et agissant comme fait une quelconque actrice de cinéma d’Hollywood. Et très souvent, cet habillement impie et d’attrait sexuel, est regardé comme une mode dans les églises. Et les pasteurs derrière la chaire, manquant d’audace et de la puissance de l’Esprit Saint, comme un Lot assis là-bas, l’âme attristée, mais trop attaché à un ticket de repas pour dire aux gens que c’est faux. Oui.

     

    B)    LA VIRGINITE.

     

    Deutéronome 18 : 13 – 23

     

    -          L’UNION INVISIBLE…, 25/11/1965, § 83, Trad. Lepicard

    ... Restez vierge envers la Parole comme une femme doit rester vertueuse envers son mari.

     

    -          L’INVASION DES Etats-Unis D’AMERIQUE, 9/05/1954, §165, Trad. Lepicard et V.D.

    Voyez, aujourd’hui. Prenons, comme je le disais, il y a quelques moments, au sujet de la demoiselle, de la jeune fille avec une rose. Disons, la rose, elle est jolie ; elle est là pour qu’on l’admire, c’est vrai. Et c’est comme l’église, elle est là pour qu’on l’admire. C’est comme une jolie jeune femme, elle est là pour qu’on la regarde. C’est exact. Mais si elle… Elle est belle… Elle appartient à son mari, elle – elle est à sa place. Mais si elle n’a pas l’épée de la moralité attachée à elle pour la protéger, elle devient un fardeau à la société et pour l’être humain : elle est tombée si bas, scandaleuse et corrompue au point que même les chiens ne voudront pas la regarder. C’est exact.

     

    C)    LA MATERNITE

     

    -          L’UNION INVISIBLE…, 25/11/1965, § 90 – 95,

    … Les magazines captivent nos jeunes filles modernes ; les photos, c’est ce qu’elles voient dans la rue, puis vient l’habillement dans les magasins. Et combien Satan, ce grand Instrument de l’enfer, qui est descendu parmi les gens, les séduit à travers ces choses. Et la femme croit que tout va bien pour elle : elle est morte et elle ne le sait pas, … elle est loin de Dieu. Voyez-vous comment elle a perdu tout cela et de quelle façon subtile ? Aujourd’hui, j’aimerais que vous remarquiez que Jésus en a aussi parlé. Si vous désirez le lire… Jésus a déclaré dans les heures qui précédèrent Sa crucifixion, que cette chose se produirait. Le saviez-vous ? Luc 23 : 27 – 31 dit ceci :

    « Il était suivi d’une grande multitude de peuples, et de femmes qui se frappaient la poitrine et se lamentaient sur Lui.

    Jésus se tourna vers elles, et dit : Filles de Jérusalem, ne pleurez pas sur Moi ; mais pleurez sur vous et sur vos enfants.

    Car voici, des jours viendront où l’on dira : Heureuses les stériles, heureuses les entrailles qui n’ont pas enfanté et les mamelles qui n’ont point allaité.

    Alors, ils se mettront à dire aux montagnes : Tombez sur nous ! Et aux collines : Couvrez-nous !

    Car, si l’on fait ces choses au bois vert, qu’arrivera-t-il au bois sec ? »

    Il parle du jour où les femmes ne voudraient plus d’enfants. Elles veulent un chien ou un chat ou quelque chose de ce genre, mais elles ne veulent plus d’enfants. Pourquoi ? On les prendrait pour la vieille mère Michel si elles avaient un enfant. Voyez-vous ? Elle ne veut pas… C’est l’opinion d’Hollywood. On ne veut pas qu’une femme soit une femme Michel. Ainsi, elle préfère subir une opération ou en faire subir une, à elle, qui les empêche d’avoir des enfants. Ils ne veulent pas d’enfants. Jésus en a parlé et qu’a-t-IL dit ? « En ce temps-là, ils demanderont à grands cris que les rochers et les montagnes leur tombent dessus. »

    Elle pratique le contrôle des naissances, afin de pouvoir continuer à aller à ses réceptions. Elle ne veut pas être dérangée par un bébé qu’elle devrait nourrir. Cela la déformerait… La  Maternité pourrait la déformer. Alors, elle n’aurait plus l’apparence qu’elle avait. Et son mari est assez ignorant pour la laisser agir ainsi : non, elle ne lui donnera pas d’enfant.

    Jésus a parlé de cela et il a dit que lorsqu’elles feraient ceci, en ce temps-là, « elles demanderaient que les rochers leur tombent dessus. » Cela vient du Seigneur. Elles payent cher pour dorloter des chats ou des chiens. C’est vrai. Elle doit dorloter quelque chose parce que c’est la nature que Dieu lui a donnée pour agir ainsi.

    Si une femme n’a pas de bébé de son mari, elle prendra un chien, un chat ou autre chose ! Elle doit être une mère de quelque chose. C’est sa nature. Mais, donner un enfant à son mari et l’élever pour le service de Dieu, …

     

    -          L’INVASION DES Etats-Unis D’AMERIQUE, 9/05/1954, § 244 –254,

    Maintenant à vous, petites mamans ici ce matin, celles qui sont vraiment des mamans.

    Je sais qu’il y en a beaucoup parmi vous ; de chacune d’entre vous, je pense, laissez-moi vous dire quelque chose. Que Dieu vous bénisse. Vous êtes Le Cinquième Evangile, je pense. Laissez-moi vous dire quelque chose à propos de vos enfants, juste un petit quelque chose. Parce que frère Neville va probablement prêcher sur… au sujet des mères ce soir ; ou n’importe qui d’autre, ou celui d’entre nous qui prêchera, bon, c’est au sujet des mamans. Mais écoutez, laissez-moi vous dire quelque chose.

    Rappelez-vous que lorsque Moïse était un petit enfant, ce fut sa mère qui lui donna son instruction ; c’était une maman pieuse qui prenait Moïse sur ses genoux et disait : « Moïse », et lui apprenait tout. Il était son enseignant ou… Elle était son professeur, sous les ordres du Pharaon et elle lui disait toutes ces choses. Elle dit : « Moïse, un jour, tu vas délivrer les enfants d’Israël. Tu es un enfant appelé. Garde-toi pur et préserve-toi des souillures du monde.

    Nulle part ailleurs, à ce qu’on sache, il n’était jamais allé à un séminaire ou à un autre endroit d’où il reçut son instruction. Il resta juste dans le palais du Pharaon, qui était païen, mais sa mère lui enseignait (Frère Branham donne trois coups sur la chaire. – NDE). Voilà une vraie mère. Elle lui enseigna les Préceptes de l’Eternel. Et lui apprit comment il devait se garder dans la sainteté. Et lui apprit comment, quel genre de vie mener et comment, ce que Dieu devrait faire ou allait faire de lui. Et Moïse, cela lui est lui est resté gravé tous les jours de sa vie.

    Et toute véritable maman, bonne et loyale, prendra ses enfants au lieu de les envoyer au cinéma et à des soirées dansantes, et ainsi de suite, comme cela, elle les mettra sur ses genoux et leur enseignera au sujet du Seigneur Jésus-Christ !

    L’autre jour, ici, je parlais au téléphone avec une maman. Et la maman dit : « Oh, frère Bill, » dit-elle : « Mon pauvre garçon a des problèmes. » Elle dit : « Oh, dans quel pétrin il s’est mis ? »

    Je dis : « Oui, chère sœur. J’en suis au courant. » Elle dit : « Peut-être qu’il a tort. Je ne sais pas. » Elle dit : « L’un dit ceci et l’autre dit cela, je ne sais pas. » Mais elle dit : « Peu importe qu’il ait tort ou raison, je l’aime. » Vous y voilà : « Je l’aime. »

    Il parla à sa mère, disant : « J’ai été tellement séduit par ceci et par cela. » Il a dit : « Maman, je commence à croire que tu es la seule chérie que j’ai vraiment ; une femme qui m’est fidèle et qui reste à mes côtés. »

    Ça, c’est l’amour maternel. Voilà une véritable mère, elle va entourer son bébé de ses bras. Peu importe qu’il ait tort ou raison, elle va vers lui sans hésiter. Et si Dieu…

    Si une mère peut penser cela de son bébé, à combien plus forte raison Dieu pensera-t-Il la même chose des Siens ? Voyez-vous ? Restez bien attachés à Lui. Suivez le Droit Chemin.

    Et maintenant, laissez-moi vous parler très rapidement d’une autre maman avant que nous terminions. Il y avait une maman qui s’appelait Hérodias. Elle apprit à sa fille la danse à claquettes. Elle voulait qu’elle soit populaire et celle-ci dansa devant le roi, et exigea la tête de Jean-Baptiste. L’histoire nous rapporte que 70 de ses descendants sont mortes, soit comme des prostituées, soit comme des gibiers de potence.

    Une maman apprit à son enfant les choses du monde ; et l’autre mère, apprit à son enfant les choses de Dieu. L’un est devenu un grand Leader, un Conquérant Immortel parmi les hommes aujourd’hui ; et l’autre, une débauchée, elle est allée en enfer, et elle a entraîné des milliers de milliers avec elle. Voyez-vous ce que je veux dire ? « Elevez l’enfant selon la voie qu’il doit suivre. »

    Certainement que je suis de tout cœur avec vous. Les pauvres mères assises ici, qui portez une rose blanche. Il existe un Ciel où cette mère est partie, aujourd’hui, où une bonne mère à l’ancienne mode qui a vécu pour Dieu est allée probablement, de l’autre côté du voile. Elle attend votre arrivée. C’est exact.

    Je vous respecte et je vous honore, vous qui portez vos roses rouges. Si vous désirez faire quelque chose pour elle, pour votre maman, faites-le les 365 jours de l’année. Allez chez elle, et offrez des prières, vivez pour Dieu. C’est ce qu’il faut faire. Et élevez vos enfants. Et quand vos enfants auront grandi, ils vous diront « Bienheureuse », après que vous aurez passé de l’autre côté du Voile. Ça c’est le véritable esprit de la maternité et le véritable esprit du Jour des mères. Le Jour des mères ce sont les Trois Cent Soixante jours de l’année.

     

    -          L’INVASION DES Etats-Unis D’AMERIQUE, 9/05/1954, § 226 – 229,

    Vous savez, les Etats-Unis connaissent plus de cas de divorces que tout le monde ; plus de cas de divorces ! Pensez-y ! C’est horrible ! La maternité a été brisée. Les mamans ne restent plus à la maison avec leurs enfants comme elles en avaient l’habitude. Elles doivent chercher un emploi.

    L’autre jour ici, un certain monsieur de l’épicerie dans la ville me parlait à propos, au sujet de ces femmes qui travaillent dans ces usines publiques, ces jeunes femmes mariées et avec plein de petits enfants. Elles ont des gardiennes pour s’occuper de leurs bébés. Elles travaillent dans ces usines publiques. Il dit : « Il y en avait deux qui se tenaient là, … qui étaient licenciées de leurs services publics, qui dirent : « Ne vous en faites pas, nous travaillerons de toute façon. »

    Oh, le temps de prostitution est en cours. Sûrement. Le diable leur a dit qu’elles sont le chef de la maison. Elles en font à leur guise. Elles feront ce qu’elles veulent. Et essayez de le faire sortir d’elles si vous le pouvez.

    Il n’y a qu’une seule chose qui puisse le faire sortir d’elles, c’est l’Autel à l’ancienne mode devant Jésus-Christ ; une Religion qui fait couler les larmes, qui saisit les cœurs et taille en pièces et qui fait d’elles ce qu’elles devraient être. C’est juste.

     

    -          QUESTIONS ET REPONSES N° 2, 23/08/1964, soir, § 61-63, Trad. Lepicard

    Je sais que cela va vous paraître terrible qu’un ministre dise cette chose à la chaire, mais j’avais coutume d’aller avec des acheteurs de bétails, quand j’étais dans l’Ouest. Nous achetions des vaches qui étaient bonnes pour la reproduction car ils voulaient commencer à faire de l’élevage. J’ai beaucoup appris pendant que j’étais là-bas en observant ce que faisaient les commissaires-priseurs et les acheteurs. J’avais l’habitude d’aller avec un vieil ami qui venait à l’église avec moi, et que j’ai conduit à Christ, un parfait incroyant pour commencer. Monsieur Jeverez. Beaucoup d’entre vous se souviennent de lui, un propriétaire de ranch du Colorado. Nous allions et voici ils amenaient une vache. J’ai vu un jour une petite génisse pour l’élevage, être vendue pour onze mille U$, juste une petite génisse qui n’avait encore jamais vêlé. Et Jev dit : « Si j’avais l’argent, je le placerais sur cette génisse. » Et je pensais : « C’est un propriétaire de ranch il connaît son affaire. » Je dis : « Jev, pourquoi achèterais-tu… Quelles sont les qualités requises ? Elle est de la race Hereford. Celle que l’on a vendu il y a quelques instant pour trois cents U$ me semblait être une génisse plus grosse. »

    Il me dit : « Regarde Billy, il y a une chose que tu ne comprends pas dans l’achat du bétail. » Il me dit : « Je pense que tu devrais rester dans le domaine de la prédication. » « Tu ne connais pas le bétail. » Il ajouta : « Mainten


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